Maison de fourrure recyclée

depuis 2009

Quentin Veron est un créateur, un artisan et le précurseur d’une nouvelle ère de la fourrure. En 2009 il fait une entrée audacieuse dans le monde de la mode, « Les fourrures contestataires de Quentin Veron sont de purs produits de l’imaginaire. » (Elle USA). Les pièces bousculent les conventions, les défilés sont des mises en abîme spectaculaires, le narratif est retentissant. La marque Quentin Véron rencontre un succès commercial et médiatique international, elle s’installe avec « Des collections qui ont une âme et résonnent avec les envies d’aujourd’hui » (Citizen K magazine) et des collaborations prestigieuses. Elle est représentée dans les boutiques de luxe et affirme sa notoriété par son succès auprès d’une clientèle d’artistes, acteurs et musiciens de renommée. De la Haute Couture au Prêt-à-porter, en passant par le mobilier et l’Art, l’Univers de Quentin Véron se décline, et « A tout juste 21 ans il s’est imposé comme le prince de la fourrure » (L’Officiel Paris). Le ton est donné, « (…) la fourrure ne sera plus jamais tout à fait la même. » (Interview Magazine)

En 2014, Quentin Véron s’attelle à redonner ses lettres de noblesse à la fourrure. L’artisanat reprend sa place fondamentale, et c’est dans ses ateliers qu’il se concentre sur des pièces uniques pour des clients privés. Redonner vie à un savoir menacé, honorer une matière première pérenne et revaloriser l’artisanat par une nouvelle approche éthique, sont ses nouvelles lignes directrices. C’est ainsi que Quentin Veron devient la première marque de luxe à adopter la « fourrure recyclée ». Des produits en fourrure existants sont désassemblés, la matière est traitée, puis employée pour la création de pièces manifestes enrichies de son expertise technique et créative. Ce parti pris sans précédent s’impose comme l’unique issue digne pour perpétuer son art dans une démarche consciente.

En 2019, le magazine Citizen K le nomme « Le Rodin de la fourrure »,  et donne toute sa grandeur au message véhiculé par Quentin Véron : « L’avenir de la fourrure réside dans son passé… »

 

(Texte par Lesley Schenk)

Recycled Fur House

since 2009

Quentin Veron is a designer, a craftsman and the pioneer of a new era for fur. In 2009, he made a daring entry into the fashion world.

“Quentin Veron’s anti-establishment furs are pure figments of imagination,” Elle USA said of his first collection. The pieces shake up convention, the shows are spectacular, the narrative is thundering. The brand has been met with international commercial and media success, it settles with, « Collections that have a soul and resonate with today’s desires, » wrote Citizen K magazine. It is represented in luxury boutiques and affirms its notoriety through its success with a clientele of renowned artists, actors and musicians. From Haute Couture to Prêt-à-porter, including furniture and Art, Quentin Véron’s universe is well defined, and « At just 21 years old he is established as the prince of fur, » confirmed L’Officiel Paris. The tone is set, “…fur will never be quite the same again,  » stated Interview Magazine.

In 2014, Quentin Véron aimed to restore the philosophy of fur and its sensibility in the market. He ensured that hand-craftsmanship regained its fundamental place, and it was in his workshops that he focused on one-of-a-kind pieces for private clients. Bringing life back to an endangered trade, honoring the sustainable raw material, and enhancing the value of craft through a new, ethical approach, are fur’s new guidelines. This is how Quentin Veron becomes the first luxury brand to adopt recycled fur. Existing fur products are disassembled, the material is processed, then used to create statements pieces enriched with technical and creative expertise. This unprecedented approach stands out as the only sustainable and worthy outcome to perpetuate his art in a conscious process
In 2019, Citizen K magazine named him, « The Rodin of fur, » and bestowed grandeur to the message conveyed by Quentin Véron: « The future of fur lies in its past. »

 

(Text by Lesley Schenk)